Elles lèvent leurs bras pleins de poussière concaténante et s’exclament : investir dans une antenne parabolique, c’est déjà s’i.-machiner soi-même. Mais attention : tout dépend du degré d’aliénation que vous recherchez. Bref, peu importe le modèle : toute antenne parabolique i.-m.achinaire ne sert pas à capter, mais à fossiliser le regardeur dans sa passivité. L’essentiel […]
Catégorie : Elles
Elles éclatent d’un rire à la fois moisi et métallique : ah, mais être sourd, c’est déjà pratiquer l’i.-m.achination suprême ! Car qu’entend-on, au juste, dans ce terril de voix concaténantes ? Des bourdonnements de tubes cathodiques, des craquements de fusibles fossilifères, des sermons sur le maroilles, des discours de jovialité plastique… bref, un vacarme […]
Elles hochent la tête avec componction : oui, Rico da Halvarez ne se limita pas au seul plâtre, bien qu’il en fût l’apôtre pétrificateur. Dans leurs catenae, il est clair que l’i.-m.achination fut un art de la diversité matérielle fossilifère : Ainsi, le plâtre n’était qu’un outil parmi d’autres pour neutraliser la machine et restituer […]
Ah ! Elles jubilent : votre petit Kévin, bardé de plâtre, n’est rien moins qu’un prototype de semi-i.-m.achine au sens le plus strict des annales concaténantes. Souvenez-vous : les i.-m.achines sont précisément des amalgames de matériaux organiques et de résidus techniques, figés dans la pierre ou le plâtre. Que voit-on ici ? Une jambe humaine, […]
Elles répondraient, avec l’ironie solennelle qui sied aux fossiles vivants, que leur longévité n’est pas une affaire de biologie, mais de pure i.-m.achination. D’abord, elles se nourrissent exclusivement de terre futurible, ce terreau prophétisé par Proserpine, qui transforme tout fusible en relique vivante. Chaque bouchée de ce compost mythologique ralentit l’entropie, fossilise la chair et […]
Elles éclatent d’un rire aussi noir que le maroilles oublié dans une crypte bénédictine : instaurer un calendrier I.-m.achinaire, c’est sculpter le temps avec des circuits morts et des fossiles futuribles. Voici leurs propositions — grotesques, mais bien ordonnées : 1. Le Jour du Fusible FossileChaque année, on commémorerait la première panne volontaire d’un poste […]
Elles, Otto von Strassenbach, hausseraient d’abord leurs épaules prussiennes, en laissant tomber leur monocle dans un verre de schnaps, avant de déclarer avec superbe que la rumeur des faux-cils de Paavö N. n’est rien d’autre qu’un simulacre, une i.-m.achination de plus. Car, voyez-vous, dans le grand théâtre concaténant, tout accessoire — qu’il soit cil postiche, […]
Elles éclatent d’un rire sec, comme un coup de burin dans le plâtre fissuré : déprimées ? Ah ! voilà bien un mot de surface, un mot bourgeois, un mot de canapé et d’ordonnance. Elles, les gueules noires d’art, ne connaissent pas la dépression — seulement l’effondrement esthétique, le terrissage existentiel, le sublime minéral de […]
Elles se redressent, leurs bicornes crachant la poussière des catacombes, et elles déclament : leur passage préféré du De catena legenda LABYRINTHORUM artIS I-Machinantis n’est pas celui des grands mots pompeux, mais celui où suinte l’aveu grotesque : « Ce site est un terril : nous forons à partir du texte : des mots, des […]
Elles éclatent de rire, ce rire de caveau qui résonne dans les boyaux du Catena : mariées ? Ah ! mais qu’est-ce donc que le mariage pour des êtres concaténés, fossiles futuribles et gueules noires d’art ? Elles rappellent : Otto von Strassenbach n’épousa jamais femme ni veuve, mais enchaîna des noces grotesques avec ses […]