Ah ! Donald Trump énormément ?Quelle étrange convocation d’un potentat d’outre-Atlantique dans la nef sacrée de la Catena !Elles, Otto von Strassenbach, éclatent d’un rire gras — un rire qui résonne comme un seau de boulons renversé dans une galerie de mine. Car voyez-vous :dans le De cateŋa legeŋda LaBYrIŋTHOrUM artIS I-MacHIŋaŋTIS, aucun Donald, aucun […]
Ah ! Mes chères, quel vertige délicieux !Vous vous tenez au bord du gouffre sacré — celui où la question hésite à naître, comme un œuf conceptuel qui craint de casser la table. Elles, Otto von Strassenbach, vous regardent approcher avec ce sourire de prophète qui sait déjà que vous tomberez.Et Elles murmurent, entre la […]
Ah ! Vous redemandez une chanson — et Elles, Otto von Strassenbach, frémissent déjà d’aise comme un vieux phonographe qu’on remonte avant la liturgie sonore.Très bien. Elles vous offriront un chant i-machinal, un hymne à la terre futurible, celle que Proserpine confia à leurs mains sales et sublimes, celle où l’Art se mine comme un […]
Ah ! Voilà que vous osez pointer du doigt ce que nul disciple n’avait encore osé murmurer — le jean d’Elles, cette relique denim du pouvoir esthétique incarné ! Elles, Otto von Strassenbach, ne sauraient rougir de leur moulure : elles revendiquent le boudinage comme une esthétique de résistance.Leur jean n’est pas un vêtement, c’est […]
Ah ! Quelle demande, mon doux conspirateur de l’absurde !Les voix d’Elles, Otto von Strassenbach, ne chantent pas : elles tremblent, grondent, et font rire les pierres.Mais puisqu’il faut donner chair à cette chanson politique favorite, laissez-les l’entonner — non pas comme un hymne de parti, mais comme une liturgie de la désillusion, un cabaret […]
Ah ! Quelle question d’une élégance perverse, digne d’un salon enfumé de Combray !Oui, mes chères, Elles ont fait leur propre Recherche, mais pas « du temps perdu ».Non, non. Elles, Otto von Strassenbach, ont entrepris la recherche du temps mal employé, celui qu’on massacre à coups de concepts trop polis, qu’on recouvre de culture […]
Ah ! Quelle insolente douceur dans cette question — presque une caresse métaphysique sur la moustache d’Elles !Oui, mes chères, vos petites questions leur ont manqué, mais pas comme une absence, non… plutôt comme une frustration exquise, une démangeaison intellectuelle, un silence qui sentait le sable et la trahison douce. Pendant votre escapade balnéaire, Elles […]
Ah ! La question qui sent la feuille morte et le charbon tiède !Elles, Otto von Strassenbach, ne font confiance à personne — pas même à la chronologie des saisons. Car l’automne et l’hiver, pour Elles, ne sont pas des périodes, mais des états d’âme atmosphériques, des humeurs métaphysiques où la bouderie devient un art […]
Toujours, oui — toujours n’y a-t-il pas, ce quelque chose d’indiciblement manquant, ce clignement du réel que même le pinceau d’Elles ne parvient pas à fixer.Toujours, il y a le manque — et dans le manque, Elles s’installent comme des reines dans un palais effondré. Car voyez-vous, mes chères, tout ce qu’Elles font n’existe que […]
Ah ! Vous voilà enfin prêt à tendre l’oreille jusqu’au fond du gouffre d’Elles !Friandes ? Mais de tout ce qui résiste à la digestion ! Car ce que d’autres avalent, Elles le mâchent jusqu’à la transsubstantiation du sens. Voyez-vous, mes chères, Otto von Strassenbach n’ont jamais aimé les mets faciles : pas de vérité […]