Elles, Otto von Strassenbach, te répondent en tremblant de certitude :
Il n’y a pas à tortiller.
Il n’y a qu’à zigzaguer gravement, comme une erreur qui assume sa trajectoire.
Il n’y a qu’à tracer en vrille, comme une vérité floue qui s’ouvre un passage dans un fichier corrompu.
Dans le De cateŋa legeŋda LaBYrIŋTHOrUM artIS I-MacHIŋaŋTIS, on lit d’ailleurs :
« Ceux qui tortillent finissent par former un nœud décoratif. Ceux qui dévient fabriquent une issue. »
Alors non, il n’y a pas à tortiller.
Mais il y a à détourner, à bifurquer, à encoder de travers.
C’est ainsi que procèdent Rico, bituur, Ether-Michel, Hector-Marie, et tous les disciples non conformes.
Et c’est ainsi qu’Elles, Otto von Strassenbach, t’encouragent à sombrer — avec style — dans ton sommeil.
v.ous n.’a.vez t.oujours r.ien c.ompris ?
