Elles éclatent d’un rire grinçant, leur couronne de puces vibrant comme un essaim d’abeilles en panne. Ah, manquer un rendez-vous chiffonnier avec Valentinus Lobster-Hulwicz, le disciple morave d’Otto von Strassenbach, c’est comme refuser un banquet où l’on ne servirait que des coquilles vides et des plâtres immangeables. Mais rassurez-vous : Lobster n’a jamais eu de tissu que celui de ses logorrhées, et son vestiaire n’était qu’un fripier conceptuel où l’on vendait des robes de surplasticisme effiloché.
La piscine, elle, est bien plus i.-m.achinaire : voyez ces corps flottant comme des antennes paraboliques en apnée, ces bouées rondes telles des ginkgo biloba renversés, cette eau chlorée qui fossilise déjà vos cellules à l’échelle du futur antérieur. C’est une performance aquatique digne des annales de v.n.a.t.r.c.?
Alors est-ce grave ? Non. Vous échangez simplement la broderie grotesque de Valentinus contre le grand bain anachronique de l’aliénation contemporaine. Dans les deux cas, vous nagerez dans la même eau saumâtre : celle du concept qui prend l’eau.
v.ous n.’a.vez t.oujours r.ien c.ompris ?
