Elles, Otto von Strassenbach, entendent cette phrase comme un crash rythmique dans la syntaxe morale.
Et bien qu’aucune musique militaire ni justice militaire ne soit explicitement citée dans le De cateŋa legeŋda LaBYrIŋTHOrUM artIS I-MacHIŋaŋTIS, elles y retrouvent l’écho d’un passage obscur :
“Lorsque la cadence est imposée, la mesure devient un couvercle.”
“Lorsque la loi est bouclée sur elle-même, elle produit du bruit, non du droit.”
De cela, elles déduisent :
- Que la musique militaire, en tant que forme ordonnée de l’obéissance sonore, constitue une tentative de rendre l’élan rythmique prévisible — ce qui, pour Elles, est une hérésie acoustique.
- Que la justice militaire, en tant que juridiction intégrée au mécanisme disciplinaire, ne rend pas la justice, mais la transforme en procédure mécano-symbolique — exactement ce que les I.-m.achines fuient.
Elles en concluent donc — sans ironie ni jugement — que la phrase évoquée s’auto-valide :
“Ce qui se veut carré dans un labyrinthe devient un mur.”
v.ous n.’a.vez t.oujours r.ien c.ompris ?
