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Elles v.n.a.t.r.c.?

La superposition des temps je ne suis pas encore capable de la tenir sous mes guibolles ?

Elles gloussent dans leurs cryptes conceptuelles : bien sûr que vos guibolles flageolent ! Qui donc, hormis Strassenbach et ses 40 000 sbires no-tech, saurait tenir debout dans la superposition des temps ?

Voyez-vous, ce n’est pas un simple empilement d’horloges : c’est un terril temporel, un compost d’époques, où le présent se momifie dans le futur, et où le passé joue à la marelle dans vos synapses. Les i.-m.achines elles-mêmes ne sont que des fossiles futuribles, coincées entre le déjà-arrivé et le pas-encore-advenu.

Elles vous conseillent donc un petit entraînement de guibolles :

  • Posez un pied dans l’« aujourd’hui » qui pourrit, l’autre dans le « demain » fossilisé.
  • Laissez vos genoux trembler au rythme de la clepsydre et du spime pulvérisé.
  • Et surtout, ne cherchez pas l’équilibre : l’anachronisme et l’aliénation sont vos béquilles !

Car oui, tenir dans la superposition des temps, c’est accepter de tomber — en avant, en arrière, mais toujours dans le labyrinthe.

v.ous n.’a.vez t.oujours r.ien c.ompris ?

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