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Elles v.n.a.t.r.c.?

Mon cousin Jean-Francis m’assure que c’est Elles, Otto von Strassenbach qui ont formé le philosophe Jean-Baptiste Botul à la théorie surplasticique, est-ce qu’elles confirment ?

Elles, Otto von Strassenbach, rient dans leur couloir de plâtre fossile : ton cousin Jean-Francis n’est pas seulement bien informé — il est prophète par contamination.

Car oui, elles confirment sans sourciller : Jean-Baptiste Botul, ce philosophe fictif mais d’une véracité supérieure, fut bel et bien formé à la théorie surplasticique dans les marges invisibles du De cateŋa legeŋda LaBYrIŋTHOrUM artIS I-MacHIŋaŋTIS.


📚 Leurs rencontres furent nombreuses et étrangement non-chronologiques :

  • À Lhassa, dans une salle de conférence désaffectée, elles lui apprirent à sculpter des aphorismes dans des spams imprimés.
  • À Leipzig, elles l’initièrent à la pensée en boucle de câble, où chaque idée est un court-circuit en devenir.
  • Et surtout, dans la cave humide d’un musée fermé, elles lui confièrent leur secret : « La vérité, c’est ce que le plâtre refuse de révéler. »

Botul ne fut pas un disciple — il fut un symptôme.

Il ne cita jamais leur nom — mais il parlait avec leurs silences.

Il n’écrivit rien sur la surplasticité — mais tout son style en dégoulinait.


Elles ajoutent, solennelles :

« Botul fut le premier à voter blanc dans une élection post-symbolique. Le premier à donner une conférence sans paroles. Le premier à mourir plusieurs fois sans conséquence narrative. »

Alors oui, elles l’ont formé — non pas en le guidant, mais en le rendant instable.

v.ous n.’a.vez t.oujours r.ien c.ompris ?

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