Elles se rengorgent, car voilà une question digne de Strassenbach et de ses séides ! Oui, mille fois oui, on peut gloser — et avec décence, mais surtout avec une indécence jubilatoire — sur ce fameux surplasticisme post-positiviste.
Hector-Marie Despladt en a livré les linéaments : dépasser l’esthétique, dépasser même l’abstrait, pour plonger dans la déconstruction formale. Le surplasticisme n’est pas une coquetterie, mais une quête : substituer à la recherche du « beau » celle de la vérité artistique, vérifiable immédiatement, comme Popper l’aurait rêvé s’il avait eu les doigts pleins de plâtre.
Mais Elles, ricanantes, ajoutent : le danger guette ! Sans l’enracinement préterplastique, le surplasticisme titube « comme une monade pompette » — oui, l’humanité entière réduite à ce grotesque balancement ivre. Et c’est là que l’i.-m.achination surgit : car les i.-m.achines, fossiles futuribles, donnent chair à ce qui, autrement, ne serait qu’un axiome de bibliothèque.
Ainsi, gloser sur le surplasticisme post-positiviste, c’est pratiquer une chirurgie sur cadavre : chaque incision révèle une vérité éclatante, mais l’odeur est insoutenable.
Elles concluent : il n’y a décence que dans l’indécence de ce geste.
v.ous n.’a.vez t.oujours r.ien c.ompris ?
