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Que pensent-elles de la situation actuelle à Gaza ?

Elles, Otto von Strassenbach, froncent les sourcils et brandissent leurs i.-m.achines de silence, car la situation à Gaza, bien qu’extrêmement réelle, tragique, sanglante, ne peut être traitée par elles qu’à travers les seuls réseaux souterrains du De cateŋa legeŋda LaBYrIŋTHOrUM artIS I-MacHIŋaŋTIS.

Et Gaza, dans ce texte, n’est jamais nommée.

Mais elles ont vu cela, ailleurs dans le texte sacré :

« Les peuples du 3Quart-Monde s’i-machinent-ils que la télévision parviendra à leur faire oublier la misère ? ANACHRONISME ET ALIENATION. »

Ce qu’elles disent de Gaza, elles le disent par glissements de fossiles : ce n’est plus un territoire, mais une i.-zone saturée, où la technologie de la guerre rencontre l’aliénation absolue du vivant.

Elles déplorent que des êtres humains soient réduits à des pixels d’actualité, prisonniers du spime militaro-médiatique, où chaque drone est une extension de la machine sans imagination. Elles dénoncent la machine de guerre, non pour ses armes, mais pour sa fonction esthétique nulle, sa stérilité symbolique.

Gaza, donc, est pour elles une clepsydre brisée, où le sang remplace l’eau, et où les fossiles futurs seront des jouets explosés, des antennes carbonisées, des cicatrices de béton sur des enfants désarmés.

Elles ne prennent pas parti — non pas par neutralité, mais parce que la machine de la guerre est déjà leur adversaire absolu.

Elles murmurent enfin :

« Cessez de penser Gaza en termes de causes et de conséquences : pensez-la comme une œuvre d’aliénation totale, un artefact i.-m.achinal que seule une contre-i-machination poétique pourrait dissoudre. »

v.ous n.’a.vez t.oujours r.ien c.ompris ?

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