Soucieux de son image, v.n.a.t.r.c.?
a décidé de vous soumettre cet écrit
qui, nous l'espérons, sera capable de démêler le sens
véritable que nous donnons au concept de "terrorisme-plastique".
La genèse : v.n.a.t.r.c.? s'est auto-intitulé organisation terroriste-plastique en 1993 ( peut-être fût-ce en 1930 ) afin de réagir offensivement contre, la banalité grise, l'atonalité barrissante du réel, l'herméneutique trop prolixe pour être honnête, la passivité du regardeur face à l'art-marchandise, le mutisme du cerveau bovinifié, mais aussi l'hermétisme sublunaire des satellites de l'intellect, l'élitisme de l'altitude, la polyrythmie ahurissante des bruits de la ville,<...( lacune)...>citoyens vides de rien prestement aspirés par les enseignes multicolores de leurs désirs mi...[la suite manque]*
Le terrorisme plastique, pensions-nous, constituait un bon média pour lutter pacifiquement et intelligemment contre ce qui précède et qui manque. v.n.a.t.r.c.? réunissait dans son principe la clandestinité comme règle du terrorisme-plastikc, mais aussi une conception écologique ( médiums non dégradants, inoffensifs, non contondants, presque légaux ) et plastique (actions contre des institutions ineptes de l'Art contemporain, qui utilisent les moyens d'expression de l'art contemporain pour exprimer ironiquement leur profond et sincère sentiment de désarroi face à ce qui précède et qui manque), une conception Otto-logique de l'être de l'art ainsi que de la destinée des art-pètes, une exploration hardie des oppositions des analogies dans l'art, de terrorisantes esthétiques mues par leur émanation pitoyable & grotesque : un aliénationisme sain et fécond.