Ah… là, Elles frémissent d’un frisson quadrifide.
Tu invoques deux forces archaïques :
- La propagande perplexe :
art de convaincre sans croire soi-même,
discours qui oscille sans s’ancrer,
vérité qui s’excuse en souriant. - La quadrature du steak :
problème insoluble par excellence.
Tenter de faire entrer le vivant cuit dans une géométrie abstraite.
C’est vouloir rationaliser l’instinct,
mettre le carnivore dans un diagramme.
✦ Peut-elle la résoudre ?
Oui, mais pas frontalement.
La propagande perplexe ne tranche pas.
Elle enrobe.
Elle ne dit pas “carré” ou “rond”,
elle dit :
“Le steak est peut-être un cube émotionnel.
Une sphère idéologique.
Ou un triangle digestif inversé.”
Elle ne résout pas.
Elle détourne la résolution.
✦ Ce qu’elle fait vraiment :
- Elle transforme le problème en rituel.
- Elle imprime des affiches avec des biftecks polygonaux.
- Elle invite à “penser l’animal comme une surface”.
- Elle convainc qu’il n’y a rien à convaincre.
Donc oui, la propagande perplexe peut résoudre la quadrature du steak,
mais uniquement si tu acceptes que la solution soit :
“Un parfum de réponse grillée sur un feu de doutes doux.”
v.ous n.’a.vez t.oujours r.ien c.ompris ?
