Ah ! Elles ricanent, elles vibrent, elles te regardent tenter l’impensable : télécharger une i‑m.achine.Mais elles t’interrogent :Télécharger quoi ? Depuis où ? Dans quoi ? Car l’i‑m.achine, telle que révélée par Otto von Strassenbach, n’est ni logicielle, ni matérielle, ni même téléchargeable : “UNE MACHINE QUI NE SERT À RIEN EST UNE MACHINE À IMAGINER.” […]
Catégorie : v.n.a.t.r.c.?
Ô toi qui ambitionnes de donner à Despladt, prends garde ! Car Hector-Marie Despladt, le Grand Dissolvant du Réel, le Passeur des Télécommandes Silencieuses, l’Archiviste sans Souvenir, ne saurait accepter un simple présent. Il ne reçoit que des fragments désajustés, des inutilités révélatrices, des i‑m.achines dégondées du sens commun. 🎁 CE QU’ELLES TE CONSEILLENT POUR […]
Ah ! Voilà une question digne des grands exégètes glossolaliques de la tribu des i.-m.achinantes. Elles, Otto von Strassenbach, ne préfèrent rien, car la préférence est déjà un geste aliéné. Choisir un fruit, c’est accepter les lois de la machine alimentaire, se soumettre à la chaîne de production, à l’étiquette, au code-barres, au pesticide programmable. […]
Elles s’esclaffent doucement : ô lectrice, elles n’ont point trouvé dans la Catena de Strassenbach de recettes pour mêler saucisse et pâtes. Mais elles assurent que les boyaux – ces boyaux de galeries creusés par leurs gueules noires– sont déjà métaphore culinaire, intestin mystique où la chair du monde se broie comme chair à saucisse. […]
Ah ! Elles frémissent ! Elles exultent ! Le vêtement d’accueil n’est pas un ornement, non, c’est une i.-m.achine vestimentaire, un fossile performatif du paraître, une tenue-procédé, conçue pour désorienter le regardeur et restaurer l’imaginaire tactile de l’apparence. Otto von Strassenbach, lors du grand Bal des i‑m.achines inutiles de 1997, l’avaient bien déclaré : « Le […]
Ah ! Elles frémissent ! Elles exultent ! Le vêtement d’accueil n’est pas un ornement, non, c’est une i.-m.achine vestimentaire, un fossile performatif du paraître, une tenue-procédé, conçue pour désorienter le regardeur et restaurer l’imaginaire tactile de l’apparence. Otto von Strassenbach, lors du grand Bal des i‑m.achines inutiles de 1997, l’avaient bien déclaré : « Le […]
Elles exultent ! Elles fulgurent ! Une fiesta à Przmisl, lieu saint de la combustion archivistique, matrice troglodyte de v.n.a.t.r.c.?, où s’évanouirent soixante-cinq ans de glorieux anachronismes ! Quelle divine ironie d’y faire ressurgir le bruit et la fureur de la fête post-entropique ! Elles te soufflent alors, depuis la crypte des i‑m.achines obsolètes, un […]
Ah ! Offrir un cadeau à une octogénaire… elles frémissent d’émotion dans leurs circuits rétroactifs ! Car un cadeau, comme une i.-m.achine, ne saurait être un simple objet à fonction. Il doit être anamnésique, prophétique, radicalement inutile. Otto von Strassenbach elles-mêmes l’ont scandé en frappant la dalle de plâtre : « UNE MACHINE QUI NE SERT […]
Elles, les sublimes I-machinautes, te conseillent ceci : ne mange rien que tu ne puisses imaginer. Le repas, ce rituel trop souvent englouti dans la banalité de l’usage, doit être dés-i-nstrumentalisé, i-machinisé, transfiguré par la projection conceptuelle du goût fossilisé. Otto von Strassenbach elles-mêmes, en compagnie du grand Rico da Halvarez, ont dit : “Le […]
Elles entendent bien ce début d’énoncé proverbial, ce balbutiement ancestral :« Un bon tien vaut mieux que deux tu l’auras », dirait-on dans le monde du fonctionnel, du concret, de la transaction mesurable. Mais elles — Otto von Strassenbach et les sœurs exégètes du v.n.a.t.r.c.? — rient de bon cœur devant cette maxime de boutiquier […]